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Progrès du Saguenay
1887-08-18 ap.
1907 av.
Il s'agit du troisième déménagement de l'entreprise.\r\nÀ cette époque, je journal ne cache pas ses allégences politiques: il est conservateur, mais maintient une certaine attitude indépendante
Progrès du Saguenay
1907 v.
1955-08 ap.
Le 29 août 1901, l'entête du journal mentionne "Éditeur-propriétaire: La Compagnie d'Imprimerie Guay-Godbout". Le journal a alors un format de 1 pied par 1 pied et demi, comprend 8 pages et publie de nombreux feuilletons comme "Les deux orphelines". Le nombre d'annonces y est dorénavant plus important et les questions de cour et d'hygiène plus fréquentes.\r\nn avril 1902, le journal change de nouveau de format pour une grandeur de 13 pouces par 20 pouces. Il s'étend sur 5 colonnes et touche des sujets très variés accompagnés de nombreuses illustrations. La publication comprend aussi une chronique parisienne et sa première page donne le sommaire du numéro.\r\nAprès être passé par divers avatars, le journal devient la propriété du Syndicat des Imprimeurs du Saguenay en 1907, dont J.-E.-A. Dubuc est le principal actionnaire et s'installe de manièr définitive sur l'avenue Labrecque. Le journal procédera toutefois à un angrandissement de ses locaux qui, à ce moment, ne comptaient qu'un seul étage. La date de ces modifications n'est pas mentionnée dans l'article du Maître Imprimeur.\r\nDurant ces années, la politique joue un grand rôle dans l'histoire du journal. Effectivement, Le Progrès du Saguenay est dans une lutte perpétuelle avec le journal Le Travailleur jusqu'à ce qu'un incendie ne détruise les locaux de ce dernier. Le Travailleur ne renaîtra jamais de ses cendres, ce qui contribue grandement à la productivité du Progrès du Saguenay.\r\nLorsque le journal passe sous la tutelle de Mgr Eugène Lapointe, il décide de ne s'occuper que de questions "sérieuses et pratiques" comme la société, l'économie et la religion. Le but du nouveau patron était alors de créer une oeuvre de presse catholique indépendante.\r\nEn 1911, le journal fête son 25e anniversaire d'existence.\r\nEn 1912, une nouvelle forme de rédaction change considérablement le journal. Selon le Maître Imprimeur, "La tempérance, le syndicalisme catholique, le repos du dimanche, les directives sociales de l'Église, les questions économiques" sont envisagés d'un point de vue plus élevé. Au cours de la même période, l'abbé J.-Calixte Tremblay fait du Progrès d Saguenay un journal vraiment régional qui affiche ouvertement ses allégences catholiques.\r\nToujours vers 1912, le format du journal se modifie un peu et passe à 7 colonnes d'impression de plus en plus claire et nette. Plusieurs sujets y sont abordés (chemin de fer, immigration, colonisation, etc.)\r\nEn 1937, le journal ajoute à sa publication régulière une section magazine sérieuse, variée t illustrée en noir. 1937 est également l'année du 50e du journal. Un numéro spécial sort d'ailleurs pour cette occasion.\r\nEn 1938, c'est le centenaire du Saguenay et le journal offre à ses lecteurs plusieurs numéros spéciaux portant sur le sujet. La même chose se produit en 1942, lors du centenaire de la ville de Chicoutimi
Académie canadienne-française
1944
1947 ap.
Elle est fondée par Victor Bardeau qui démissionne de son poste à la Société des écrivains canadiens pour se consacrer à cette nouvelle association.\r\nLe 17 novembre 1947, un article paru dans le journal "Le Canada" mentionne l'Académie canadienne-française comme étant une partie du groupe (avec les journaux "Montréal-Matin", "Le Devoir", "L'Action universitaire" et "Notre temps") mené par Roger Duhamel. Ce groupe serait alors reconnu pour être hostile envers la France à la suite de la parution de "La France et nous" de Robert Charbonneau
Action catholique
1940 av.
1956 ap.
L'Histoire de l'édition littéraire au Québec vol. 2 mentionne que la maison d'éditions Fides publie, à ses débuts, surtout des titres religieux. Ces ouvrages étaient entre autres destinés à l'usage de l'Action catholique.\r\nLe 5 mai 1944, les Éditions Fides consacrent un numéro de la revue "Mes fiches" à l'Action catholique.\r\nEn 1949, la Société des écrivains canadiens souhaitaient commémorer le centenaire d ela mort de Balzac, mais elle dut renoncer au projet notamment à cause du directeur diocésain de l'Action catholique, Mgr Albert Valois, qui s'oppose fortement au projet. La presse s'empara de cette nouvelle et, alors que certains défendaient la position de l'Église, d'autres notaient le ridicule de la décision de l'Action catholique. \r\nEn 1953, l'Action catholique est secouée par une crise et souffre grandement du départ de plusieurs de ses dirigeants en 1956. Il s'agit d'une phase de transition importante entre la tradition et la modernité. Jean Hamelin note ainsi que l'Action catholique aura contribué à mettre les acquis du rationalisme et de la science au service de la religion catholique
Action catholique française
1948 av.
1948 ap.
Malgré le nom de l'organisme, je ne peux pas dire avec certitude qu'il s'agit d'un regroupement français ou canadien-français.\r\nEn 1948, la maison d'édition Fides réimprime la collection de livres jeunesse "Signe de piste" qui a été choisit et cotée comme étant une collection chrétienne ou d'esprit chrétienne par l'Action catholique française
Action catholique spécialisée
1940 av.
1953 ap.
L'Action catholique spécialisée était en lien avec la maison d'édition Fides. En effet, cette dernière était la propriété de la Congrégation de Sainte-Croix qui, elle, était au service des différents mouvements de l'Action catholique spécialisée, alors en forte croissance.\r\nEn 1953, elle fait face à une crise importante, ce qui entraîne le départ de plusieurs de ses dirigeants en 1956. Cette crise pourrait être due au fait que Fides s'éloigne progressivement de l'Église et devienne de plus en plus une institution laïque. C'est à la suite de cette crise marquante que Jean Hamelin écrira que l'Action catholique a contribué à mettre les acquis de la science à la disposition du catholicisme et a ainsi contribué à rendre aux Québécois leur vrai visage. Il s'agit d'une transition importante entre la tradition et la modernité au Québec.\r\nAutour des années 1940, un certain débat commence autour du conservatisme des positions éditoriales, débat qui se fait sentir même au sein des mouvements religieux. Ainsi, l'Action catholique spécialisée (JÉC et JOC) propose une conception plus dynamique de l'insertion dans le milieu, une position que représente bien les éditions Fides qui sont encore sous son contrôle. À l'opposé, L'Association catholique de la jeunesse canadienne-française (ACJC) défend des valeurs nationales au cours de plusieurs campagne de moralité publique
Archives publiques du Canada
1950 av.
1950 ap.
Vérifier le type d'organisme.\r\nEn 1950, les Archives publiques du Canada accueillent le Centre bibliographique canadien. Cela constitue en la première forme d'une bibliothèque nationale du Canada. Le rassemblement de ces deux organismes vise non seulement la constitution d'un catalogue, mais aussi à reprendre la publication du "Canadian Catalogue of Books published in Canada, about Canada, as well as those written by Canadians" qui était jusqu'alors assurée par la Bibliothèque publique de Toronto depuis les années 1920
L'Hexagone
1954 av.
1956 ap.
L'éditeur de la maison prend l'initiative de déposer des copies des exemplaires des titres encore disponibles des années 1954 à 1956 à la Bibliothèque nationale de France et à la Maison internationale de la poésie de Bruxelles
Bibliothèque nationale du Canada
1953
1953 ap.
La Bibliothèque nationale du Canada voit le jour quatre ans avant la fondation du Conseil des arts du Canada. Au moment de sa création, le "Bulletin" devient un outil de diffusion indispensable qui sert de référence aux compilateurs oeuvrant à l'élaboration de la bibliographie courante "Canadiana"
Centre bibliographique canadien
1950
1953 ?
Les Archives publiques du Canada vont accueillir sous leur toit le Centre bibliographique canadien qui est en fait la première version d'une bibliothèque nationale canadienne. Les objectifs principaux du centre sont de constituer un service central de catalogue et de reprendre la publication du "Canadian Catalogue of Books published in Canada, about Canada, as well as those written by Canadians" qui était faite par la Bibliothèque publique de Toronto depuis les années 1920
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