Organismes, historique

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Yvon Boulanger Ltée
19551965-06 ap.
La compagnie est propriétaire de l'édifice dans lequel sont situés les bureaux. On mentionne que les locaux sont spécialement agencés à la spécialité dont s'occupe l'entreprise.\r\nEn 1965, 20 ans après sa fondation, elle est la troisième plus importante imprimerie d'obligations et de certificats d'actions au Canada. Elle n'imprime que des documents monétaires (obligations, actions, timbres-sceaux et chèques). Elle fabrique également des livres de contrôle pour coupons payés et contrôle, dans certaines villes ou commissions scolaires, la marche de leur dette obligatoire.\r\nLa principale clientèle de l'entreprise ets composée des ministères des finances provinciaux (Obligations d'Épargne du Québec), d'offices autonomes (autoroute, Hydro-Québec, Régie des Alcools, Corp. Montréal Métropolitain, etc.), de villes, de commissions scolaires, de banques, de sociétés de fiducie, de courtiers, d'hôpitaux, d'institutions religieuses (catholiques ou autres) et d'avocats spécialisés.\r\nL'immeuble où est située l'entreprise est très sécuritaire. Elle est munie d'une double enceinte protégée par des sonneries d'alarme, de vitre à l'épreuve des balles et de serrures ne pouvant être ouvertes que grâce à un code d'accès. En entrant dans l'édifice, il fait signer un registre et porter sur soi un bouton insigne.\r\nLes commandes actuelles de l'entreprise se chiffrent à près de 400 et totalisent une valeur de plusieurs dizaines de millions de dollars.\r\nL'atelier est réputé pour sa propreté exceptionnelle et son équipement moderne. Il peut émettre deux ou trois émissions par jour, chaque émission peut comprendre entre 100 et plusieurs milliers de titres.\r\nLa compagnie assume entièrement les erreurs pouvant se produire au cours de la production et ce, gratuitement pour tous ses clients. D'ailleurs, depuis 1945, aucun des clients de la compagnie ne l'a quitté pour une autre imprimerie
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Imprimerie Saint-Joseph
19161966-12 ap.
Ces débuts encouragent les autorités et, en 1916, un local plus vaste est bâti à l'arrière du Scolasticat et pourvu d'un outillage mécanisé: c'est la naissance de l'imprimerie. Cette construction, entourée plus tard d'agrandissements successifs tous les 8, 9 ou 10 ans, existe toujours et, en 1955, a une superficie de 25,000 pieds carrés. Elle constitue, en 1966, la salle des presses typographiques. \r\nLa main-d'oeuvre improvisée acquiert de jour en jour plus d'habileté et il devient possible dès avril 1917 d'entreprendre l'impression des Annales de Saint-Joseph.\r\nEt puis ce fut la croissance normale, régulière, accompagnant celle de l'Oratoire. Nouvelles pièces de machinerie, additions au personnel religieux puis laïc et construction, en 1924, de la Maison Saint-Joseph et de la résidence des religieux. \r\nDébut des années 1940, l'Imprimerie Saint-Joseph devient vite l'atelier préféré des éditeurs de volumes qui foisonnent et s'en donnent à coeur joie pour combler le vide provoqué par l'absence d'importations françaises pendant la guerre. Celle-ci terminée, l'atelier s'oriente de plus en plus vers l'impression de périodiques pour combler le vide causé par la reprise des importations.\r\nEntretemps, Paul-Aimé Martin fonde ce qui est devenu la puissante organisation des Éditions Fides. La majorité de ses imprimés sortant de l'Imprimerie Saint-Joseph, celle-ci en reçoit une prospérité accrue.\r\nPendant ce temps, tout en maintenant l'excellence de ses services typographiques et même en les développant, la direction de l'imprimerie jongle avec le procédé héliogravure, créant même les ateliers Hélio d'Art. Toutefois, les circonstances ne permettent pas de mener le projet à bonne fin et le procédé offset gagne la faveur générale, comme partout ailleurs, au point que l'équipement offset représente, en 1966, la proportion la plus importante des investissements de l'imprimerie.\r\nEn 1955, l'imprimerie imprime divers travaux de ville pour environ 10% de sa production totale (un tiers de ces 10% concerne des entreprises séculières), 30% de cette production sont consacrés aux périodiques et 60% aux volumes d'éditions
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Photogravure Nationale Standard inc.
1955 v.1966-10 ap.
On mentionne que la direction est demeurée très souple et que, bien que tous les associés de la compagnie occupent un poste particulier, ils peuvent tous se remplacer en cas d'urgence.\r\nEn 1955, la direction procède à un étude de marché approfondie et investie 250 000$ afin de devenir des précurseurs dans le domaine de la polychromie électronique, le procédé "Dry Offset" et l'impression rotative directe.\r\nLa Photogravure Nationale Standard inc. s'occupe autant de la production dite normale que de la recherche dans son domaine d'activité. Parmi les différentes techniques développées par la compagnie, Le Maître Imprimeur note celle des plaques enveloppantes pour impression directe et indirecte allant jusqu'à des grandeurs de 59" sur un cylindre de 20" de diamètre.\r\nÀ l'été 1965, William Craig visite plusieurs villes européennes et américaines et planifie finalement un projet d'expansion de la compagnie, ce qui nécessita l'achat de plusieurs machines outre-mer.\r\nEn neuf ans d'activité, le personnel de la compagnie a pratiquement doublé et son chiffre d'affaires, triplé.\r\nLe Maître Imprimeur stipule que l'entreprise est située à l'intérieur d'une maison transformée, sans toutefois en dévoiler l'adresse. Les machines sont placés au premier étage tandis que les bureaux de l'exécutif se trouvent à l'étage supérieur.\r\nAu cours des dernières années, l'entreprise a augmenté son équipement, permettant une amélioration des produits finis et des techniques de production. À cause de cela, les ventes de la compagnie ont considérablement augmenté.\r\nComme l'entreprise connaît un bon essor, la direction songe à augmenter les équipes de production de deux à trois