431 - E : ben::: ouais mais là ça c'est parce que eux-autres ont une question de PARURE ¹là un peu là/ c::::::'est un peu extrême leur affaire mais t'sais tu tu tu tu en viens à à: à oui vouvoyer un peu automatiquement mais dans le sens que tu dois un respect ton employeur à la limite te dit que tu dois un respect à CHAQUE client même s'il a six ans ²ou même s'il a cinquante-six ans sauf que: justement quand t'as un client qui arrive ³pis qu'il reste une quinzaine de minutes laisse-moi donc parler s'il y a un client qui arrive pis qu'il qu'il reste une quinzaine de minutes pis qu'il parle pis qu'il parle pis qu'il commence à faire une joke pis que t'sais il a le même âge que toi pis tu vois que: je sais pas il a un chandail d'un groupe que t'aimes là tu sens comme une espèce de connivence là un moment donné le le vous peut se changer en tu pis c'est correct l'autre va pas te regarder bizarre t'sais je sais pas si tu te rends compte là tout d'un coup l'espèce de RECUL l'espèce de de de de ⁴petit euh d'éloignement que des fois on t'sais que c'est c'est poli c'est bien d'avoir ça entre [sous-corpus 2, segment 9, page 99, ligne 4] -

432 - ÉM : euh::: mais ils disent que là on a un budget déficitaire de sept millions et puis un budget accu- un <all<déficit accumulé>> de vingt millions <len<pis à peu près toutes les universités sont dans sont à peu près dans la même situation>> bon ce qui a comme conséquence que cette année par exemple à l'Université de Sherbrooke ben ils embauchent pas de nouveaux professeurs mais pourtant les inscriptions à l'université elles augmentent vraiment dans tous les milieux baccalauréats maîtrises doctorats donc euh::: pensez-vous que c'est NORMAL que les universités québécoises soient en déficit quand la apparemment la deuxième plus grande préoccupation du gouvernement c'est l'éducation on demeure dans le sujet de l'éducation là/ qu'est-ce que vous en pensez de ça {Ø;vous}/ ¤<445729> [sous-corpus 2, segment 9, page 103, ligne 16] -

433 - M : donc même si le nombre d'étudiants AUGMENTE mathématiquement si les frais de scolarité suivent pas le coût de la vie ben l'université elle il faut qu'elle paie l'électricité il faut qu'elle paie l'entretien pis ÇA ça augmente avec le coût de la vie donc ¤<467525> [sous-corpus 2, segment 9, page 104, ligne 3] -

434 - M : ¹euh ça se peut donc voilà c'est l'explication moi je pense que: les frais de scolarité devraient être dégelés ²et je pense que je me m'attirerais beaucoup de ¤<478545> [sous-corpus 2, segment 9, page 104, ligne 6] -

435 - M : MAIS d'autre part ça aurait évité des choses comme on a vécu l'année passée donc euh : l'augmentation des prêts euh du du du plafond limite des prêts là parce que le gouvernement avait promis de pas dégeler les frais de scolarité pis ça lui prenait de l'argent fait qu'il est allé chercher OÙ il avait rien promis donc dans les prêts et bourses ¤<499790> [sous-corpus 2, segment 9, page 104, ligne 9] -

436 - ÉM : donc c'est ça là ¹avant c'était peut-être certaines facultés comme en lettres et sciences humaines [sous-corpus 2, segment 9, page 105, ligne 18] -

437 - ÉM : donc disons ¹que [sous-corpus 2, segment 10, page 110, ligne 14] -

438 - ÉM : donc [sous-corpus 2, segment 10, page 113, ligne 5] -

439 - ÉM : donc vous seriez plus pour des programmes euh disons pragmatiques au sens où qu'ils desservent la société là ¤<392929> [sous-corpus 2, segment 10, page 113, ligne 7] -

440 - ÉM : ça passe vite hein↑ ¹donc euh je vous remercie énormément d'être venus euh discuter de tout et de rien et de refaire ce monde de dictateurs à vous entendre [sous-corpus 2, segment 10, page 114, ligne 11] -