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École de reliure
1937
1942
Source: http://www.collegeahuntsic.qc.ca/pagesdept/infographie/historique.html\r\nÀ ce moment, l'école est sous la direction de Louis-Philippe Beaudoin. \r\nLe programme d'études de l'Atelier-école y est d'une durée de 5 ans
Éditions Chanteclercs ltée
1945 ap.
1951-07 ap.
Éditions Lumen
1945 av.
1945 ap.
En 1945, Alexandre Thérien, de Thérien Frères ltée, annexe à son entreprise les Éditions Lumen, qui changent de nom pour les Éditions Chanteclercs ltée avant 1951. On suppose que la maison continue d'exister sous sa propre raison sociale.\r\nOn y publie une grande variété de livres du plus grand intérêt, donnant surtout la préférence aux auteurs canadiens
Imprimerie Standard
1954 av.
1954
Après avoir fait des stages dans quelques imprimeries, Paul Gutkin se porte acquéreur, en compagnie de Gustave Tremblay, de l'Imprimerie Standard. Les deux associés la font progresser énormément, si bien qu'au lieu d'agrandir la compagnie, les propriétaires optent pour une fusion avec l'Imprimerie Lebonfon en 1954
Matériel d'imprimerie ltée
1952
1952 ap.
L'entreprise déménage puisque la clientèle augmentée demandait une augmentation équivalente des facilités. Par ce déménagement, Matériel d'imprimerie ltée a réussi à coordonner ses services de réparation ainsi que ses services de vente de machines neuves et usagées dans un même local dont l'équipement est, selon le Maître imprimeur, des plus modernes, et qui incorpore toutes les facilités de production en ce qui a trait à la machinerie lourde.\r\nCe nouvel édifice est de trois étages. Le premier est occupé par les départements de réception et d'expédition; le deuxième, par les départements de réparation et de reconstruction des machines et le troisième, par le bureau, le magasin des pièces de rechange et la salle de démonstration. Cette salle de démonstration est particulièrement bien aménagée et toutes les machines neuves vendues par Matériel d'imprimerie ltée sont continuellement prêtes à fonctionner pour le bénéfice des clients en perspective.\r\nSelon le Maître imprimeur, son département d'outillage comprend douze machinistes de première classe et dispose d'un équipement complet des plus modernes. Le personnel de ce département est composé de spécialistes en presses à journaux, linotypes, presses à cylindres, presses automatiques, couteaux, plieuses, brocheuses, etc. De plus, ils ont le privilège de se servir, lorsqu'ils en ont besoin, de tout l'outillage et de toutes les facilités de production de Lefebvre Frères ltée
Commercial Litho Plate Graining Ltd
1934 v.
1964-11 av.
Dans les années 1930, lors de la fondation de la compagnie, W.-E. Thibault est encore seul dans son entreprise et doit travailler jour et nuit.\r\nC'est en 1940 que le succès de la compagnie commence à se dessiner. Les imprimeurs locaux ne peuvent plus obtenir des plaques grenées de l'Allemagne. Commercial Litho Plate Graining Ltd est en mesure d'accepter ces commandes de plaques.\r\nCommercial Litho Plate Graining Ltd introduit dans l'indstrie lithographique canadienne les premières plaques en aluminium de fabrication canadienne. Elle lance la première plaque wipe-on canadienne et bat la marche dans le développement des plaques offset.\r\nEn 1959, la compagnie introduit un cylindre-enduit pour enduire les plaques wipe-on, dont le rendement supérieur (proche de 75%) s'est montré si efficace qu'on a bonne raison de croire que la machine se paie au cours d'une année d'opération.\r\nOn ne sait pas à quel moment la division de grenage déménage sur la rue Guy
Commercial Litho Plate Graining Ltd
1964-11 av.
1964-11 ap.
En 1963, Léo Thibault remplace son père W.-E. à la présidence de la compagnie.\r\nEn 1964, on dit que la compagnie s'est récemment caractérisée par l'introduction d'une plaque en aluminium à court tirage, dénommée Eco-Plate. Il s'agit, selon le Maître imprimeur, d'une nouveauté technologique.\r\nEn 1964, le Maître imprimeur dit qu'il y a quelques années, en réponse à la demande des clients pour une ligne plus complète de produits lithographiques, la compagnie a commencé la production de dissolvants chimiques et de lessives de presse Rogersol pour le marché lithographique canadien. La Division des produits chimiques et des dissolvants est située sur la rue du Port, usine qui abritait à l'origine la division de grenage de l'entreprise, maintenant située sur la rue Guy dans des quartiers nouveaux et plus grands.\r\nEn novembre 1964, le Maître imprimeur dit que l'entreprise est la plus grande compagnie de plaques grenées dans l'Amérique du Nord. Dans une période d'à peine trente ans, elle s'est accaparée la portion majeure du marché canadien et s'est implantée solidement aux États-Unis
Éditions du Réveil
1955-08 av.
1955-08 ap.
En août 1955, l'hebdomadaire Le Réveil a une circulation de 4,200 exemplaires par semaine et, selon le Maître imprimeur, va de progrès en progrès.\r\nL'équipement de l'atelier, sans être des plus modernes, est toutefois très adéquat selon le Maître imprimeur
Progrès du Saguenay
1887-08-18
1907 av.
Lorsque le Progrès du Saguenay voit le jour, son atelier est situé dans les mêmes locaux que ceux précédemment occupés par Le Réveil du Saguenay. Il conserve également le même propriétaire, le même format sur six colonnes, les mêmes caractères et le même prix d'abonnement annuel, soit 1$.\r\nL'entête du journal pouvait se lire comme suit: "Le Progrès du Saguenay, journal populaire".\r\nÀ ses débuts, le journal ne compte que quatre pages rassemblant divers sujets, notamment une large tranche d'un roman. Malgré quelques fautes d'orthographe ou de syntaxe, le journal avait une allure honorable selon Le Maître Imprimeur
?
1842
1964-05-29
On ne connaît pas la dénomination de l'organisme avant 1964, ni son mode de gestion.\r\nEn janvier 1912, la revue de l'Oratoire Saint-Joseph est imprimée dans les ateliers de Beauchemin
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