«La Fin de L'Électeur», S.R.Q., vol. 9, no 21, p. 331-332.
1897-01-16
Mauvaises lectures
Ernest Pacaud, dans une lettre au Soleil, explique la disparition de L'Électeur. Pacaud en appelle à Rome pour renverser le jugement des Évêques sur son journal : «J'espère que ce conflit regrettable disparaîtra avant longtemps, et que je pourrai reprendre la publication de L'Électeur, auquel 17 années d'un travail constant et de sacrifices pénibles m'avaient si profondément attaché.» La Semaine religieuse réplique : «Son propriétaire [Pacaud] déclare qu'il en appelle à la Cour de Rome. C'est son droit indiscutable. Il a pleine liberté de se faire condamner par un tribunal supérieur, si bon lui semble.»