À la suite de l'article «Ne faudrait-il désormais ne lire qu'en anglais?» plusieurs lecteurs ont écrit à l'auteur pour lui dire que les livres sont trop dispendieux. On lui a aussi demandé de faire connaître ses interrogations sur le monde du livre au Qc, ce qu'il a fait dans cet article. Ses questions touchent à la politique du livre, aux maisons d'édition en général, à l'édition de poésie, aux librairies, à la FILM, aux livres de poche, aux achats de livre par les biblio. et commissions scolaires. (long)