Un effet combiné de la loi 51 qui oblige les éditeurs étrangers à passer par les distributeurs et libraires implantés au Québec et de la concentration des entreprises qui en faisant l'acquisition de nombreuses petites maisons, rationalise leurs opérations en concentrant également la distribution, à cela s'ajoute la stagnation des ventes du livre étranger français au Québec (à 30M$ par an).