Jean Bode indique au Devoir que sa librairie est injustement accusée d'infraction à la loi contre les coalitions commerciales. Il allègue que la Librairie Déom ne vend pas de manuels scolaires. Une N.D.R.L. ajoute que l'acte de dénonciation «ne parlait pas uniquement de manuels scolaires, mais "de livre, volume ou manuel scolaire".» On y lisait aussi parmi les noms d'une cinquantaine d'institutions soupçonnées celui de la maison dirigée par Bode. (court)