Dans un télégramme, la SLC demande à M. Lesage d'adopter un projet de loi «conforme au recommandations faites par MM. Lapalme et Laporte». Elle «souligne» qu'une commission avait été formée à la suite d'une demande du CSL pour étudier le problème du commerce du manuel scolaire et que celle-ci «a précisé que seule une législation serait susceptible de corriger la situation.» (court)