La SLC «songe à prendre des "mesures d'urgence"» pour que le gouvernement agisse rapidement concernant la législation sur le commerce du livre. Selon la société, l'hésitation du gouvernement permet à la Centrale du livre, filiale du CPP, d'adopter une politique de vente qui «condamne à mort 70 pour cent d'entre eux et "contribue directement à la création d'un monopole"». Extrait d'une note de la SLC envoyée au p.m. (moyen)