Cahier spécial
Jean Basile s'interroge sur la pertinence d'une foire de droits au Québec. Selon lui, l'argent dépensée dans un tel événement est un luxe qui pourrait servir «plus directement le monde du livre». «Le présent exige un retour à la base de l'argent disponible. À quoi sert un Salon si les éditeurs font faillite. À quoi sert des stands, si les écrivains pour survivre doivent se suicider ou monnayer leur talent à Actualité ou Perspectives?» (moyen)