- Voir Manon Brunet, «Anonymat et pseudonymat au XIXe siècle: l'envers et l'endroit de pratiques institutionnelles», Voix et images, no 41, hiver 1989, p. 168-182.
- Voir Liette Gaudreau, «Les Romancières québécoises et l'institution littéraire, 1960-1969», mémoire de maîtrise (littérature), Sherbrooke, Université de Sherbrooke, déc. 1984, vii, 179 f.
- Voir Yvette Gonzalo-Francoli, «Jean-Charles Harvey romancier: institution littéraire et réception critique», mémoire de maîtrise (études françaises), Sherbrooke, Université de Sherbrooke, 1982, vi, 180 f.
- Voir Hélène Lafrance, Yves Thériault et l'institution littéraire québécoise, coll. «Edmond-de-Nevers», 3, Québec, IQRC, 1984, 169 p.; id., «Yves Thériault ou la transgression des codes de l'institution littéraire québécoise», mémoire de maîtrise (études françaises), Sherbrooke, Université de Sherbrooke, sept. 1983, iii, 220 f.
- Voir Marie-Pier Luneau, «Le manche et la cognée: Lionel Groulx, une vie d'écritures», thèse de Ph.D. (études françaises), Sherbrooke, Université de Sherbrooke, 2001, 486 f.; id., «Les Lionel Groulx. La pseudonymie comme stratégie littéraire et jeu institutionnel (1900-1966)», mémoire de maîtrise (études françaises), Sherbrooke, Université de Sherbrooke, 1996, [7], 181 f.; id., «L'encre de Lionel Groulx. L'oeuvre et l'influence de Groulx à travers son parcours éditorial (1912-1997)», travail d'étudiante inscrite au cours LIT 747, hiver 1997, 82 f.
- Voir «Les prescriptions et les interdictions de lecture» (censure, critique littéraire), dans Histoire du livre et de l'imprimé au Canada, vol. III: De 1918 à 1980 (HLIC3), 2007, p. 494-516.
- Voir Le Pseudonyme au Québec, sous la dir. de Marie-Pier Luneau et Pierre Hébert, Voix et images, n° 88, automne 2004.
- Voir Lucie Robert, L'Institution du littéraire au Québec, coll. «Vie des lettres québécoises», 28, Québec, PUL, 1989, iii, 272 p.