Voir Arbour & Laperle et Chapleau & Fils.\r\nDe septembre 1937 à juin 1961, l'entreprise détient le contrat d'impression de L'École canadienne (Manscol). En 1960, elle annonce dans l'Annuaire de Montréal : « Everything in Offset and Printing ».\r\n"Le Maître Imprimeur" mentionne que, depuis la fin de la guerre, Georges Arbour donne une nouvelle orientation à la maison qui se spécialisait avant dans l'impression de volumes, de revues et de publications. Il fait plus de travaux commerciaux et publicitaires (dont un très grand nombre en couleurs), bien qu'il imprime encore 11 revues.\r\nL'entreprise est érigée en compagnie en 1938.\r\nEn novembre 1950, Georges Arbour explique qu'il ne veut pas plus d'employés par le fait que la division du personnel en deux équipes distinctes, expérience déjà tentée auparavant, n'est pas concluante: bris d'équipement et manque de coordination au travail.
FM, 08/06/04, premier encodage de fond (en cours); 08/10/07; 08/10/23; 08/11/03, individus liés; SB, 09/01/26, ajouts; SB, 09/02/09, ajouts et corrections Historique, Identification et Sources; SB, 09/02/10, ajouts et corrections Identification, Équipements et Nombre d'employés; SB, 09/03/24, corrections Historique; FM, 09/04/02, modification du nom; SB, 09/05/26, ajouts et modifications Historique; SB, 09/07/23, ajouts et modifications Historique
Dénomination et dates extrêmes d'après 2 occurrences au catalogue IRIS. \r\nProbablement erreur de datation puisque l'entreprise ne prend ce nom qu'après 1904.
L'association d'Arbour et Laperle achètent l'imprimerie Chapleau & Fils. Cette transaction se fait au moment où les composeuses faisaient leur apparition aux États-Unis et où les presses automatiques étaient encore au stade d'expérimentation. Par conséquent, toute la composition se faisait à la main et toute l'impression était exécutée sur des presses à bras, ce qui était plus lent.\r\nLe Maître Imprimeur mentionne qu'elle a débuté à cet endroit pour ensuite déménager sur la rue Saint-Paul, puis sur la rue De La Gauchetière derrière l'hôpital Saint-Luc (pour agrandir).\r\nAu décès d'Omer Laperle en 1900, M. Dupont rachète ses parts dans l'entreprise. On peut penser que c'est à ce moment que l'entreprise change de raison sociale pour devenir Arbour & Dupont.
Vers 1904 Charles Dupont rachète les parts d'Omer Laperle lors du décès de ce dernier. À la mort de Dupont, Arbour rachète les parts de Dupont et devient l'unique propriétaire.
Dénomination d'après 51 occurrences au catalogue IRIS; adresse selon page de titre de Gerbes de souvenirs (1914). \r\nÉ. Leroux parle du 420, rue de La Gauchetière que l'entreprise occuperait depuis 1910 jusque dans les années 1950. \r\nEntre juin 1925 et juin 1930, la Librairie générale canadienne d'Eugène Achard et sa revue L'École canadienne, imprimée par Arbour & Dupont, logent à la même adresse, 249, rue de La Gauchetière Est (Manscol).
Dénomination et dates extrêmes d'après 10 occurrences au catalogue IRIS; adresse selon page de titre de Courte notice sur la vie et les oeuvres de Louis-Joseph-Amédée Derome (1922).
Dénomination et dates extrêmes d'après 2 occurrences au catalogue IRIS. Deux variantes apparaîssent en 1932(?): Arbour & Dupont, ltée, imprimeurs-éditeurs; Arbour et Dupont ltée, imprimeurs, éditeurs, relieurs.\r\nEn 1930, l'entreprise est forcée d'ajouter une annexe à son local. Durant la construction de celle-ci, les ouvriers ont dû abandonner le local et entreposer l'équipement, ce qui a mené l'entreprise à demeurer inactive durant six mois.
Selon la notice préliminaire d'É. Leroux. \r\nCharles Dupont est décédé en 1922.\r\nSelon "Le Maître Imprimeur", ce local n'est pas assez grand pour l'entreprise qui doit entreprendre la longue construction d'une annexe autour de 1930.
Il travaille successivement dans tous les départements de l'imprimerie pour acquérir de l'expérience. En 1929, c'est lui qui s'occupe majoritairement de la construction de l'annexe à ajouter aux nouveaux locaux, de l'entreposage des machines et du déménagement en général.\r\nC'est également lui qui s'occupe d'installer le système de prix de revient au sein de l'entreprise.
Il prend ce poste lorsque la maison est érigée en compagnie. On ne mentionne pas la date à laquelle il cesse d'être le secrétaire de la compagnie, mais il décède en février 1949.
Elle a probablement commencé plus tôt dans l'entreprise en exerçant d'autres fonctions. En 1958 et 1959, elle semble partager la fonction avec Claude Simard.
Suite au décès de Charles Dupont, en 1922, Pierre-Alexis Arbour rachète les parts de ce dernier, devient l'unique propriétaire de l'entreprise et nomme son fils Émile gérant de l'entreprise.
L'entreprise Arbour & Laperle devient Arbour & Dupont lors du rachat, par Charles Dupont des parts d'Omer Laperle, suite au décès de ce dernier. Malgré le décès de Dupont, en 1922, et le rachat de ses parts par Pierre-Alexis, l'entreprise conserve la même raison sociale.\r\nÀ l'été 1946, Pierre-Alexis Arbour est toujours propriétaire et président de l'entreprise.
Leroux ne spécifie pas la date de fermeture de l'entreprise.\r\nEn novembre 1950, la compagnie est installée dans un espace qui n'est plus adéquat, bien qu'il consiste en 10 000 pieds de superficie répartis sur deux étages. "Le Maître Imprimeur" mentionne que malgré ce fait, l'édifice actuel est des mieux aménagés, possède un excellent éclairage fluorescent et que son annexe compte tellement de fenêtres qu'on y a pas recours à l'éclairage électrique lors de journées claires.