En 1912, il souligne la nécessité de la lecture du bon livre français pour la sauvegarde de la langue.\r\nDans un discours soulignant le 5e anniversaire du Devoir, Bourassa prononce un discours où il dresse un bilan des activités éditoriales du journal. Il souligne entre autres les efforts consentis "pour encourager les productions littéraires d'inspiration nationale et pour développer [...] le sens de la vraie critique." Les choix éditoriaux sont guidés par la pensée de fortifier dans l'esprit de ses lecteurs les principes et les traditions qui inspirent tout le journal: Le Devoir allie effectivement fonction éditoriale et activité de la presse.