Le Maître Imprimeur mentionne qu'il commence à travailler très jeune dans le domaine de l'imprimerie et qu'il se spécialise dans le département des presses.\r\nIl travaille d'abord dans les grandes imprimeries de Montréal, puis dans celles de Val d'Or.
Comme le Maître imprimeur le désigne en tant que Dr. S. E. Dawson, on suppose qu'il détient un doctorat et donc qu'il exerce une autre profession, bien qu'on ne sache pas laquelle.
Avant 1931 et son embauche par la maison Nichols de Toronto, il a travaillé 2 ans hors des métiers du livre. Nous ne disposons pas d'autres informations.
Elle travaille de nombreuses années pour M. L. P. Beaudoin (Louis-Philippe), un relieur d'art directeur de l'École des Arts Graphiques de Montréal en mai 1950.
En 1949, le Maître imprimeur dit que Herbert Jackson a plus de 40 ans d'expérience dans le domaine des arts graphiques. On ne sait cependant pas où ces 40 années ont été passées ni dans quel secteur il a été à l'emploi.
Donald Gratton dirige son propre atelier, pour lequel travaille son fils Julien. Il n'est cependant pas précisé le nom de l'entreprise. \r\nOn suppose qu'il s'agit d'un atelier de reliure puisque c'est le métier qu'y exerce son fils, mais cela reste à confirmer.\r\nOn aurait pu inscrire Directeur dans métier, mais le choix n'est pas disponible.
Le Maître Imprimeur mentionne qu'il avait acquis une précieuse expérience au sein d'une grande compagnie d'impression dans le domaine dans lequel il se lançait à son compte.
Le Maître Imprimeur mentionne qu'il avait acquis une précieuse expérience au sein d'une grande compagnie d'impression dans le domaine dans lequel il se lançait à son compte.
Le Maître Imprimeur mentionne qu'il avait acquis une précieuse expérience au sein d'une grande compagnie d'impression dans le domaine dans lequel il se lançait à son compte.
Le Maître Imprimeur mentionne qu'il est à l'emploi d'un distributeur de papier qui est également fabriquant d'enveloppes depuis de nombreuses années, mais on ne sait pas de quelle compagnie il s'agit ni quel est l'emploi exact qu'il occupait au sien de celle-ci.
Il travaille dans l'atelier de son père, mais le nom de l'entreprise n'est pas précisé par le Maître imprimeur.\r\nSon statut professionnel n'est pas précisé.\r\nIl est dit qu'il travaille dans le domaine du réglage depuis 15 ans, mais il n'est pas dit s'il a débuté dans l'atelier de son père ou s'il a été à l'emploi d'une autre entreprise.\r\nLe Maître imprimeur le décrit comme étant l'un des meilleurs régleurs de la métropole.
Le Maître Imprimeur mentionne qu'il est à l'emploi d'un distributeur de papier qui est également fabriquant d'enveloppes depuis de nombreuses années, mais on ne sait pas de quelle compagnie il s'agit ni quel est l'emploi exact qu'il occupait au sien de celle-ci.
L'"Histoire de l'édition littéraire au Québec" vol. 1 mentionne que Pierre Baillargeon est éditeur dans les années 1940, mais on ne dispose pas d'information plus précise.
Lorsqu'André Goulet doit publier le deuxième livre de Jacques Ferron, "La Barbe de François Hertel", il va composer ce dernier à l'atelier de Marcel Allard qui lui montre comment se servir des presses à imprimer. C'est à la suite de cela que Goulet décide de créer sa propre maison d'édition. \r\nLe nom de l'atelier d'Allard n'est toutefois pas mentionné.
Pour commémorer l'anniversaire du cinquième centenaire de l'invention de l'imprimerie, Thérien Frères font paraître "Gutenberg et l'imprimerie", un ouvrage de Philippe Beaudoin illustré par Archambault.
Il travaille d'abord pour son père dans l'atelier de ce dernier, qui n'est pas nommé, situé au nord de Montréal. Après le décès de Chalifour père, il reprend la direction de l'atelier.
Il est éditeur et directeur d'un périodique (revue illustrée) pour les jeunes: "La Ruche écolière" est fondée en 1927 et deviendra "La Ruche littéraire" par la suite. Il bénéficie du réseau de distribution étendu et enviable de la CÉCM. À l'origine bimensuelle, la nouvelle revue destinée à la population étudiante des écoles primaires devient mensuelle en 1930 à la suite de difficultés financières pour revenir plus tard, de 1931 à 1934, à deux numéros par mois.\r\nLa revue vise à renforcer le sentiment patriotique des jeunes Canadiens du primaire. Elle propose des feuilletons, des devinettes, des fables, des leçons de dessin, des jeux, des histoires, des chroniques de sciences et de voyages, des lectures expliquées, des légendes, des contes de fées et des saynètes. \r\nLa revue atteint un sommet en 1930 avec un tirage de 25,000 exemplaires.\r\nLa revue change de nom pour "La Ruche littéraire" et met dès lors l'accent sur la publication d'oeuvres littéraires en feuilletons. Elle puise chez les auteurs classiques et chez les écrivains canadiens-français. Sept récits ou romans-feuilletons écrits pour la jeunesse sont publiés dans la revue.\r\nÀ vérifier: "L'Histoire de l'édition littéraire au Québec vol. 1" dit à la page 366 que la revue prend le nom de "La Ruche littéraire" en 1936; à la page 368, on parle de 1930.\r\nVérifier si la revue doit être considérée comme un organisme à part entière.
Il se lance en affaire à son compte et achète la revue Court House Daily Reporter. À cette époque, il n'est pas encore imprimeur; il s'occupe seulement de l'édition de la revue.
On mentionne qu'il a fait son apprentissage à Vancouver (probablement dans une autre entreprise que Sears) et qu'il est un imprimeur d'expérience au moment où il se joint à l'équipe de Sears Montréal.
On le charge de mettre sur pied une collection de livre de récompense. Les volumes édités seront achetés par le gouvernement et distribués par les inspecteurs d'école. Il n'est cependant pas attaché nommément à une maison d'édition. Pour la production des ouvrages, il fait appel à différentes firmes de Québec: Léger Brousseau, Augustin Côté et C. Darveau.\r\nIl veut mettre en circulation les textes des découvreurs et des pionniers de la Nouvelle-France, des chroniqueurs et historiens du XIXe siècle et quelques oeuvres littéraires d'Octave Crémazie, de Patrice Lacombe et de Philippe Aubert de Gaspé, père et fils.\r\nÀ la fin des années 1880, la collection est remplacée par la "Bibliothèque religieuse et nationale" de la librairie Cadieux & Derome, créée en 1882.\r\nIl assume certaines fonctions d'un éditeur sans en porter le titre.
Ferland édite sa poésie à compte d'auteur. Il assume les frais de production des 4 volumes du "Canada chanté", publiés entre 1908 et 1910, et traite lui-même avec l'imprimeur: l'auteur verse 125$ pour mille exemplaires des 2e et 3e volumes qui sortent des Presses du Messager (Imprimerie du Sacré-Coeur). Seules la vente et la distribution des volumes sont confiés à la Librairie Déom.