Sirois choisit d'établir son entreprise à Anjou pour deux raisons. Premièrement, il y vit lui-même. Deuxièmement, sa clientèle n'étant pas passante, il n'était pas obligé de demeurer dans le centre de Montréal. \r\nLe nouvel atelier de 14 000 pieds (sur un seul plancher) est très fonctionnel puisqu'il a été conçu par un imprimeur et réalisé par un architecte. Le Maître Imprimeur mentionne que les locaux sont vastes, éclairés et aérés; que la réception que la livraison à niveau éliminent les problèmes de manutention et que les divers bureaux des cadres sont spacieux et bien agencés.\r\nL'entreprise n'aura pas à déménager si elle venait à manquer d'espace dans ses nouveaux locaux, car ceux-ci sont situés sur un terrain de 53 000 pieds dont l'entreprise est propriétaire.
Le local de la rue Sainte-Élizabeth est devenu beaucoup trop étroit et surtout beaucoup trop vieux-jeu au goût de M. Sirois. Il fait le grand saut et loue un local flambant neuf sur la rue Clark.\r\nEn déménageant, comme le dit M. Sirois, "le nouvel atelier a été aménagé de la façon la plus moderne (le stock est conservé sur des tablettes d'acier, etc.)" Cet édifice est situé au premier étage d'un édifice en béton, complètement à l'épreuve du feu et qui, à cause de sa construction, est chaud en hiver et frais en été. De plus, selon le Maître imprimeur, le système de chauffage est excellent, de même que l'éclairage, fenêtres de deux côtés et système fluorescent partout. Un excellent système d'ascenseur à marchandise dessert l'édifice. Le local est de 5000 pieds carrés, dont 1500 sont consacrés à l'espace réservé au personnel d'administration et au très beau bureau privé de M. Sirois.\r\nDurant les deux années qui ont précédé ce déménagement, M. Sirois a pratiquement renouvellé tout son équipement. Le Maitre Imprimeur mentionne qu'il projette d'ouvrir un département d'offset pour assurer à ses clients un service encore supérieur.
Ne pouvant se payer le luxe d'appeler une imprimerie en pleine production, Armand Sirois se porte acquéreur du nom de l'Imprimerie Richelieu. Le Maître imprimeur spécifie le nom et pas l'imprimerie, car celle-ci ne comportait rien qui puisse la faire fonctionner.
Dès 1945, l'atelier de la rue Labelle devient inadéquat et l'Imprimerie déménage rue Sainte-Élizabeth dans un local plus vaste. À ce moment, son équipement a considérablement augmenté.
Vérifier le nom du Métier.\r\nGrâce à sa coopération au sein de l'entreprise, Le Maître Imprimeur mentionne que les affaires ont augmenté de manière sensationnelle.
Il se lance à son compte en 1940. Ne pouvant se payer le luxe d'une imprimerie en pleine production, il se porte acquéreur du nom de l'Imprimerie Richelieu. Le Maître imprimeur spécifie le nom et non l'imprimerie, car celle-ci ne comportait rien qui puisse la faire fonctionner. \r\nSirois travaille alors seul dans son imprimerie, puisqu'il n'a pas les moyens de payer les salaires d'employés. Au bout d'un an, il embauche un pressier et continue à s'occuper de la composition, des ventes, de la comptabilité, de l'administration, de la collection et de la livraison.
En mars 1955, M. Sirois dit avoir l'intention d'ouvrir sous peu un département d'offset, de façon à donner à ses clients un service encore plus complet.
Vérifier le type de composante.
L'imprimerie dispose d'un équipement complet dans le domaine de la typographie et dans celui de l'offset. Le propriétaire suit attentivement le développement des nouvelles technologies et ressent souvent le besoin de se procurer une presse, un couteau ou une encarteuse-brocheuse plus récents.
En mars 1955, aucune de ses machines ne compte plus de deux ans d'existence. Et pourtant, selon le Maître imprimeur, ces machines sont nombreuses: 2 presses à plateau automatique Heidelberg, 1 presse Colt, 1 presse à plateau Chandler & Price margée à la main.