Il se lance à son compte en 1940. Ne pouvant se payer le luxe d'une imprimerie en pleine production, il se porte acquéreur du nom de l'Imprimerie Richelieu. Le Maître imprimeur spécifie le nom et non l'imprimerie, car celle-ci ne comportait rien qui puisse la faire fonctionner. \r\nSirois travaille alors seul dans son imprimerie, puisqu'il n'a pas les moyens de payer les salaires d'employés. Au bout d'un an, il embauche un pressier et continue à s'occuper de la composition, des ventes, de la comptabilité, de l'administration, de la collection et de la livraison.